Retour en taxi de Cayo Guillermo, changement de paysage à la sortie du péage et retour dans notre voyage après 10 jours de trêve.
Retour aussi à l’économie parallèle cubaine, le taxi officiel que nous prenons et qui est seul autorisé à aller dans les Cayos nous informe que son frère prendra le relais dès le péage passé pour nous rendre à Camaguey, en fait ils font çà à chaque fois, le taxi cubataxi fait les cayos au péage et refile les touristes à d’autres taxis, bon on a pas perdu au change on est dans une magnifique Pontiac des années 50 avec la clim en plus.
Riz qui sèche sur la route
Arrivée à Camaguey, ville classée elle aussi, le plan de la ville est très tortueux et cela était pour perdre les pirates dans la ville.
Camaguey est aussi la ville aux églises, très belle. La ville est animée avec un beau centre et rue piétonne, on sent une belle activité ici.
On a mangé dans des restos de cubains pour pas plus de 4 CUC pour nous 4 à chaque fois.
Dernier jour pour le départ, Adé avait demandé à la dame de la casa s’il fallait réserver le bus, et comme à chaque fois à cuba on nous dit pas de problème y’a pas besoin sauf que là problème pas de place le matin mais départ le soir pour 3 heures de bus.
Du coup, on refait un tour en ville et au parc, on se fait le zoo de Camaguey, entrée 0,24 cts pour nous 4, pas mal d’espèces mais des cages minuscules qui font peine à voir, on a mal au cœur pour ses animaux sous cette chaleur.
Petit tour ensuite au parc avec des jeux d’un autre âge, incroyable, les filles ont fait du trampoline.
On sent que Camaguey est peu fréquenté par les touristes car zoo, glaces, parc et trampoline le tout pour 1,1 euros pour nous 4 çà fait rêver.
Le soir, du coup, départ pour Holguin, arrivé de nuit on aura à peine mangé quelques gâteaux dans le bus.
Le lendemain, visite d’Holguin, il fait chaud encore, cela fait plusieurs jours qu’il fait presque 40° la journée.
La ville est moins sympa que celle qu’on a fait précédemment, quelques jolies places mais nous ne sommes là que pour un jour et c’est suffisant.
Ici les briquets, on les jettent pas, on les recharge
L’auto école
Andréa et le perroquet