
Départ de Léon, nous continuons dans notre abandon de zone de confort car après le fait de ne plus réserver les hôtels, nous nous mettons à ne plus réserver les transports.
Du coup, on commence à faire local, c’est mieux et beaucoup moins cher.
On prend donc un taxi pour aller à la gare routière à coté du marché, de là on fait la queue pour prendre un taxi collectif direction Managua, la capitale, pour ensuite en prendre un autre direction granada.
Il faut savoir que le taxi collectif s’arrête toutes les 2 minutes pour prendre d’autres gens ou en faire descendre (ce sont des taxis de 15-20 places mais on est facilement 30 dedans)
Il y a aussi des vendeurs de tout au bord des routes ou qui montent dans les bus et taxi, vendeurs d’eau bien sur, ici en sac plastique, de fruits, de sandwich, de babioles, de médicaments même.
On arrive à granada en début d’après midi, c’est une magnifique ville coloniale avec ses nombreuses églises, situé au pied d’un volcan et au bord du lac Nicaragua.
On trouve un hôtel que j’avais repéré sur internet, c’est un peu plus cher que d’habitude mais comme on ne fera pas d’excursion on se fait un plaisir (ça reste raisonnable 40 € pour nous 4 la nuit) dans une magnifique maison coloniale avec deux patios dont un avec piscine, la grande classe, on doit avoir pas loin de 10 m de hauteur sous plafond dans la chambre qui fait plus de 30 m².
L’après midi, on visite granada, on fait quelques courses au supermarché et on file se baigner à la piscine sous l’orage car oui il pleut tous les soirs.
Hotel Backpacker inn
Le lendemain, réveil puis baignade avant d’aller faire le tour de la ville en calèche, sympa et très instructif.
On aura bien profité de l’hôtel qui est vraiment génial.
Granada aurait méroté qu’on y reste un peu plus de 2 jours
Du coté des filles, les devoirs avancent très bien, on est déjà largement en avance.